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#Et si je n’écoute pas ma mémoire blessée ?

  • Photo du rédacteur: Catia Arrais Thérapeute
    Catia Arrais Thérapeute
  • 7 avr.
  • 2 min de lecture



Quand l’oubli devient douleur silencieuse…


Il arrive que l’on sente quelque chose en soi…

Un poids, une tension, une émotion floue…

Et qu’on choisisse, consciemment ou non, de ne pas l’écouter.


Par peur.

Par fatigue.

Par habitude.

Par manque de temps.


Mais une mémoire blessée qui n’est pas entendue ne disparaît pas.

Elle descend plus profondément.

Elle s’inscrit dans le corps.

Elle devient parfois douleur, blocage, ou maladie.



Quand on ne l’écoute pas, la mémoire :

• S’exprime par des douleurs inexpliquées

• Réactive des schémas répétitifs

• Sabote nos relations ou nos projets

• Fatigue notre système immunitaire

• Gèle nos émotions

• Affaiblit notre joie de vivre


Car tant qu’elle n’est pas vue,


elle agit depuis l’ombre,

comme une scène qui rejoue sans fin…

jusqu’à ce que quelqu’un dise :


“Je te vois. Je t’écoute. Tu peux t’arrêter maintenant.”



Écouter, ce n’est pas souffrir à nouveau.


C’est honorer ce qui a été vécu.

C’est ramener du calme dans le chaos intérieur.

C’est permettre au corps de cesser de se battre.

Et à l’âme de revenir pleinement.



La Médecine Spirituelle n’efface pas la mémoire.

Elle l’écoute, la libère, l’intègre.

Et elle te rend la paix, la fluidité, la clarté.


N’attends pas que ton corps crie pour entendre ce que ton âme chuchote.




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Votre Thérapeute Catia Arrais

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